RP Edrevan/Haku/Cléon/et celui ou celle qui veut

Bon ben bijour tous.
Alors je fais ce topic pasque je voudrais bien faire un rpg avec un thème qui ne soit PAS la fantasy. Chais pas moi, un truc plus moderne, quoi (Bond. Edrevan Bond, rooooooh que ca sonne bien )

En résumé, ramenez vous, pis on discutera du reste après.

Bah moi j'veux bien essayez why not ?
(Jo Black, votre mission si vous l'acceptez..)

xD
Comme thème, je verrais bien l'occupation allemande a paris, pendant la deuxième guerre mondiale.
Ok pour toi?

Mais bien sur
Je vais dans la résistance.
On commence par le début ? -> les allemands arrivent à Paris-

nyaaaaaaaaaa attendez moi!! ^^ je veux bien le faire moi aussi, je fais pas de rpg pour l'instant, je me sens seule XD et le thème me plait bien!!! je veux être dans la résistance moi aussi, mais après pas au début!!

a bah non, ca marche pas comme ca : "tiens, c cool, ce qu'ils font, aller je me rajoute!"

Si tu veux, on refera un sujet, mais la, soit tu le fais soit tu le fais pas...

Eh ohoh on se calme ici! XD Fan a dit qu'elle voulait bien faire parti du rpg, m'ais elle demannder votre accord, c'est tout ^^'
mais ne t'enerve pas comme ca, Fan.

Reine Fan de Shola a écrit:

nyaaaaaaaaaa attendez moi!! ^^ je veux bien le faire moi aussi, je fais pas de rpg pour l'instant, je me sens seule XD et le thème me plait bien!!! je veux être dans la résistance moi aussi, mais après pas au début!!

J'ai jamais été une lumière en grammaire, mais la personnellement je vois pas de conditionnel. Enfin, c'est ptet moi. Et même si je suis nul en grammaire, j'ai des yeux, et a moins d'avoir un défaut de vision, je vois pas le moindre "faisais" dans ton post.

Haku -> On l'attaque ce rp??

le conditionnel c'est pour exprimer un souhait nan? donc je vois pas le rapport (dsl je veux pas participer au rpg mais c'était juste une remarque, et fan alors elle le fait pas? tu dis que Haku! raaaa rascite envers les reine! >_<)

Ben je sais pas, elle me fait "j'ai dit "faisais"", c'est pas du conditionnel ca?? (et en plus elle a même pas mis ca et elle la ramène.)
Et en attendant, moi j'ai envie de faire un rp, pas un salon de thé ou les gens se ramnènent une fois tous les quinze mille ans pour balancer trois lignes et retourner faire leur hibernation après...

merci c'est gentil, si c'est pour être traité comme ça, c'est bon je me casse, je retourne à mon "hibernation".

Eh ooh! on va pas se prendre la tête pour ca, mince!
Ca sert à quoi de s'enerver pour un truc pareil? Franchement? Mince! C'est quoi, ce délire, enfin!!!!

Alors: ou elle en fait parti, ou non! point stopons la "dispute" inutile....

(j'en ai eu ma dose de ce genre de dispute, pitiiiiéééé stooop!!)

xD (m'en fous, moi je me sens pas concerné.)


Bon, je réponds a mon rp ac elfyna puis j'attk celui la.

Milan.... tu dis que je t'engueule toujours, mais tu pourrais faire le Minuscule effort d'écrire avec et attends en entier, non? XD! c'est pas grand chose et pas compliqué à faire, ça!

A oui, au fait : pour ce rp, je changerais de pseudo, pasque "Edrevan" ca fait pas très francais des années 40^^ A la place je prends Mathieu.

Un SS me frôle en me jetant un regard haineux.
Comme d'habitude, je sens monter en moi la révolte, un sentiment profond d'injustice, de haine, de désir de revanche, tout ca a la fois, un sentiment qui me commande de me jeter sur lui, de le frapper jusqu'a ce qu'il meure, de...
Je me contiens.
Je sais bien que je n'aiderai personne en me faisant capturer. En tant qu'espion de la résistance, je sais parfaitement les raffinements que les Nazis emploient pour les gens comme moi. Je n'ai pas peur de mourir. Mes 3 frères sont partis a la guerre, et je ne sais même pas si ils sont vivants ou pas. Moi, avec mes 17 ans tapants, je n'ai plus qu'a me terrer dans Paris, la ville occupée...
Ruminant mes pensées, je me dirige vers le petit café auquel je retrouve habituellement mes amis tous les midis, pour rigoler un coup et oublier nos malheurs l'espace d'une trentaine de minutes. En entrant, j'aperçois des visages nouveaux en compagnie de mes amis. Je plaque un sourire sur mes lèvres et me dirige vers eux.

Oulala c'est quoi cette dispute ,( (J'me ramène trois ans après)
Enchantée, Hitler, moi c'est Haku xD Alors moi, je vais m'appeler..Manon, puisque c'est de l'hébreux >v< et ça existait déjà avant.-edit : plutôt non, je vais m'appeler Annie (seul prénom potable de l'époque)

Paris n'est occupé que depuis un mois, mais déjà on apprend des exécutions, d'étrangers, de communistes, de français même, honnêtes et droits. La france. Quand je songe aux nombres de personnes venues s'y réfugier.. Elles doivent bien le regretter maintenant. Moi, je suis française. En tout cas, je vis en France depuis ma naissance, quinze ans auparavant, mais je sais que si les nazies veulent m'arrêter, ils trouveront bien un pretexte. Ma famille et moi, enfin, plus mon père et mes grands frères partis ''sauver la patrie'', habitons dans le 11eme arrondissement de Paris. Il ne reste plus que mes petits frère et soeurs, Manuel et Léa. Ils ne se rendent comptent de rien, bien sur. Mais au lycée, où nous pouvons toujours aller, nous résistons à notre manière. Les pneus des vélos SS ne me resistent jamais. C'est bien dangereux mais... c'est le sentiment de servir à quelque chose ici.
C'est pour ça que je suis ici, à la table la plus loin de la porte du café où je sais que se retrouvent certaines personne qui... ne collaborent pas. il paraît qu'on n'en attend plus qu'un seul.

j'ai le temps de me rajouter?!

Mais ui mais ui mais ui
viens résister avec nous.

bien sur!!

(je répondrais quand j'aurais fini de massacrer oasis avec ma guitare^^)

(chouette merci!! j'utiliserais toujours mon pseudo moi parce que je sais pas comment m'appeler! XD oki on écrit à la première personne)

Ce simple café qui n'avait l'air de rien vu de l'extérieur mais quand on rentré on pouvait de suite deviner que c'était un reperd de la résistance parisienne. Si les allemands venaient par ici... Mais ne parlons pas de malchance. je m'avance vers le "petit" groupe qu'un homme vient de rejoindre. Je fais partie en principe de la résistance dans la France libre mais une de mes tante qui habite ici m'a fait venir et il fallait bien faire avec les moyens du bord, je m'était renseignait auprès des compagnons que j'avais et ils m'avaient conseillé ce café.

- "Hey, mais c'est notre ptit rebelle qui arrive par la!"
- "La ferme, Pierre, ou je te balance au Fritzs!" dis-je en souriant."
- "Mon dieu! T'oserais pas, quand même?"
- "Je vais me géner, tiens!"
Je m'asseois sous les rires et les boutades. Nous sommes 8 autour de la table, tous jeunes et plein de bonnes intentions, mais bien peu d'entre nous sont déjà passés a l'acte...
Pierre reprend la parole :
- "Bon, on est tous la?"
- "Non, il manque un autre type", répond un homme que je ne connais pas.
- "Bon, ben on va l'attendre alors. Alors, ptit rebelle, comment ca va l'espionnage?"
- "Comme toujours : ca fait peur."
- "Chochotte, va!"
- "Eh! C'est pas un sale planqué de journaliste comme toi qui va me parler de la peur, Laurent!"
Eclats de rire général.
La porte du café s'ouvre, et on se retourne tous pour regarder l'homme qui vient d'entrer.

(cléon : Y'a Bernard, jacques, andré, claude, Michel,alain, Gérard, daniel, robert, roger, rené, Paul, jean-pierre, Charles, philippe, ...)

Tout le monde se tait en découvrant le général allemand. La table des jeunes a mis la tête presque sous la table.
- Generalinspektion uns bewegen sich ! (Inspection générale, ne bougez pas), hurle le militaire.
Je m'efforce de ne pas montrer que j'ai peur. Si ça se trouve, j'ai creuvé la bicyclette d'un de ses officiers. Et si on me reconnaît. Les huit jeunes hommes se sont vite ressaisient. Ils bavardaient tranquillement. Au dehors, un autre regarde. Une sentinelle ? Aucune idée.
- Jean ! Non !
- Fangen Sie! (attrappez-le !)
Qu'est-ce que ?! Un homme s'est levé et à essaye de s'échapper, Mais les allemands l'ont eus ! Son camarade s'est presque levé, mais devant la menace d'un révolver, il se rassoit. Mais qu'est-ce que je suis venue faire ici ? Ils vont tous nous arrêter parce qu'on est dans ce café ! Je veux bien défendre la France, mais j'aurais même pas eu le temps de commencer !
Ils ont emmené le denommé Jean dehors et son ami l'a suivi. La peut-être sentinelle est entrée. Tout le monde respire un bon coup.
- Tiens salut ! Alors comme ça, t'es français libre ! Bienvenue dans la ville occupée ! Comment tu t'appelles ?
- Idiot de Grandse-Miches ! et si les Boches le retrouvent parce qu'il aura dit son nom ?! On ne parle qu'avec nos surnoms avec les gens non encore connus. Pour notre sécurité et la tienne, dit un grand blond en se retournant vers le jeune homme-sentinelle.
- Ta sécurité, c'est ça. si tu continues à traiter les allemands de tue-à-tue-tête, tu finiras par te retrouver en train de manger des racines de pissenlits !, ronchonne dépité le petit brun.
Ils ont tous l'air d'avoir dans les 17 ans, et le nouveau qui n'était donc pas sentinelle, devait avoir vers ses seize ans. Ils s'assoient et commencent à parler, moins fort. Je saisis des bribes de phrase.
- vous savez, il va falloir agir.... Ces allemands, je les sens plus; un de ces jours... ...on n'a pas beaucoup d'armes et on manque de....
J'approche ma chaise d'eux. je reste, l'air impassible, à deux mètres de la table.

- "Ca peut plus durer."
- " Et que veux tu qu'on fasse? Il suffit de regarder un SS dans la rue pour obtenir un aller simple en détention!"
- "Je sais pas ce qu'on peut faire. Mais j'en peus plus. Faut que je fasse un truc. Que je bouge, quoi!"
- "C'est totalement suicidaire!"
- "Pas tant que ca."
- "Mathieu, tu vas pas t'y mettre, toi aussi, quand même?!"
- "Pas la peine de mentir :on a tous envie de bouger. Mais faire ce qu'il dit, frapper au hasard et tout, CA, c'est suicidaire."
- "Eh bien, propose nous un plan, puisque t'es si intelligent!"
- "Premièrement, il nous faut un lieu ou on pourra se rassembler en case de besoin. Mieux qu'un café miteux ou les allemands font des persquisitions."
- "Je pense que je peux régler ca. Ma grand mère a un super appartement dans le centre ville, mais depuis l'occupation, elle est revenue chez ma mère, donc l'appart est libre."
- "Y a qui comme locataires?"
- "Que que des vieux, a part la concierge qui a la cinquantaine. C'est au cinquante, Avenue du Premier Film. Je vous attendrai devant."
- "Excellent. Nous avons donc une base. Je vous propose qu'on reparte chacun de notre côté, qu'on vaque a nos occupation, et qu'on aille voir ca se soir, tous ensemble."
- "En pleine nuit?"
- "Mais non, abruti! On se rejoint tous la bas a 6 heures."
Dans de bruyants au revoir, nous sortons tous péle mèle du café avant de nous mêler a la foule, chacun de son côté.


**** Vous remarquerez, je fais super cours en ce moment ^^ ****

Je me suis rapidement levée, et j'ai couru vers la sortie. Où sont-ils ?! Je bouscule deux trois personnes.
- Désolée! pardon ! s'cusez moi !
Là ! Il y en a un ! il va prendre le bus ! Je joue des coudes et j'avance rapidement vers le véhicule, mais... Trop tard ! Dépitée, je retourne chez moi. Je pousse deux personnes qui sont derrière la porte.
-Exusez-moi. Oh ! Entschul...digen Sie...
Deux soldats allemands me fixent, et ce n'est même plus le dégoût que je vois dans leurs yeux, mais le sentiments que je ne suis qu'une esclave ridicule. La colère monte en moi, mais oser riposter serait un allez simple vers leurs ''camps'', d'où personne ne revient. je baisse les yeux et monte vers notre appartement. je croise un jeune garçon dans le couloir et je m'arrête net. C'est.. la sentinelle ! Il habite là ?! Songeuse, je pousse la porte et m'arrête devant ma chambre.

(bon dsl je dois partir vite fait et jreviens samedi alors pas de bétises)

(bon au risque de paraître idiot je n'ai vraiment mais alors vraiment pas capté le premier message de haku sur cette page, dsl, et ou est ce que je suis passé! >_<)