Lian & Saphir

Bon, je préviens, cela ressemble beaucoup a chihiro pas de comz la dessus...
C'est pour ça que jai mis longtemps a me decider de la mettre..
voila

Cette gamine tient à ses parents, me dis-je, et elle a peut-être raison. Je pensais ceci car je n'avais jamais connu mes parents. Je n'étais pas orphelin, simplement je ne me souvenais pas avoir appelé quelqu'un maman, et je n'avais aucun souvenir de mon enfance. Je devais avoir environ quinze ans. Ici, dans ce monde de fous où j'avais décidé de vivre, j'étais l'apprenti d'un mage que j'avais supplié de m'instruire à la science de la magie. Après bien des grommellements, il avait accepté à condition que je m'occupe de certaines petites affaires dont il ne pouvait plus se charger à cause de son âge. Avide de connaissance, j'avais acquiescé. Et maintenant, le retour en arrière n'était plus possible. Je me sentais devenir un serviteur, un esclave d'un sorcier qui ne répandait que le mal autour de lui. La vie me semblait monotone, entrecoupée de ces services que je devais à mon maître, qui n'étaient en fait que vols et cambriolages. Il était vrai que cela en valait la peine : maître Gang m'avait instruit des enchantements qui dépassaient mes rêves les plus fous. Entre autre, j'avais appris à me déplacer à travers le vent; plus vite et plus haut que n'importe qui. Le ciel me plaisait,et je m'amusais souvent avec les oiseaux de passage. C'étaient d'ailleurs mes seuls amis. Mais revenons à cette jeune fille. Je l'avais trouvée sur le pont, à l'entrée de la ville. Elle ne savait pas qu'elle courait un grave danger : ils ouvrent le pont au coucher du soleil pour permettre aux bateaux des touristes de passer. Elle aurait pu mourir noyée. Depuis que je l'avais récupérée, elle me demandait ''Lian, quand est-ce que tu me diras où sont mes parents ?'' La première fois, je l'avais rembarrée, et lui avait proposé de se taire. Mais elle continuait. D'elle, je sais juste qu'elle s'appelait Saphir et qu'elle avait presque douze ans. Et je que venais de lui sauver la vie. Ça n'a pas l'air important, mais ici, dans ce village de Naïel, les dettes envers d'autres sont beaucoup plus importantes qu'ailleurs. Moi, part exemple, quand j'étais arrivé, un des serviteurs de Gang m'avait trouvé sur le pont, au moment de la fermeture de la ville. Il m'avait donc aidé et j'avais appris que si je ne faisais rien en échange, j'avais de bonne chances de finir en prison. Alors, durant un mois, j'avais été de corvée de ménage dans la Tour. Cela vaut quelques autres explications. Et bien, déjà, le village de Naïel se situe au bord d'une grande plaine, bordée d'une forêt profonde et dangereuse. Au milieu de la ville il y a la Tour. C'est le grand restaurant où tous les touristes, divinités, dieux de passage vont manger. De l'autre côté, c'est l'océan. Les dernières maisons sont aux abords de de la falaise. Je l'ai descendu, un jour, cette falaise. Ce n'est pas très compliqué, si on ne fait pas attention au cadavres d'animaux embrochés sur des arrêtes acérées. Il ne faut pas avoir un âme sensible ici, c'est pourquoi j'ai appris à me contrôler. En plus, je sentais que c'était en mon devoir d'aider les gamins que se perdraient par là dorénavant. J'avais essayé ! Shaïla, la jeune fille blonde, je lui avais dit : ''N'y va pas, ou tu n'en réchapperas jamais !'' Elle ne m'avait pas écouté, et maintenant elle avait disparu. Pallkö, ce jeune homme, plus vieux que moi à l'époque, je l'avais prévenu :''Maître Gang n'aime pas du tout qu'on le dérange, et encore moins pour avoir un contrat !'' Et bien , je l'avais aperçu, empalé sur la falaise. Là j'en avais pleuré. Pourquoi étais-je si impuissant ?! Peut-être les gens n'avaient pas confiance en moi. C'est vrai qu'avec ma chemise blanche, ma culotte de toile bleu et mes sandales de cuir, j'avais plus l'air d'un vagabond que d'autre chose. J'avais gagné la confiance des habitants de Naïel en composant des poèmes, un don que je m'efforçais de développer en écoutant la vieille Sombraluz. Elle ne m'aimait pas, j'en ai peur, à cause de ma poésie qu'elle jugeait trop futile, démodée.
Vivant dans la forêt
Chantant sous les arbres
Dansant d'un pied léger
Riant d'un rire cristallin
Parlant d'une voix claire
Courant plus vite que le vent
Ainsi allaient les elfes d'avant.

Moi, je trouve ça bien fait. Mais apparemment, ce n'était pas l'avis de tout le monde. Maître Gang trouvait cela trop puéril. ''Laisse la poésie aux jeunes filles et aux troubadours, m'avait-il sermonné. C'est bien trop futile pour toi, mon jeune apprenti.'' Maître Gang n'est pas bien grand, et j'aurais pu facilement le terrasser. J'avais essayer une fois. Et j'étais sorti du coma vingt jours plus tard. J'ai retenu la leçon : ne jamais défier quelqu'un qui possède de connaissances magiques. Bref, je vivais assez monotonement, quand Saphir avait surgit dans ma vie. Cette jeune fille était arrivée un matin où le restaurant marchait bien, car Maître Gang m'avait laissé la journée libre. Je me promenais quand j'avais aperçu Mademoiselle Javelin – cette femme est folle de moi, enfin je pense parce que chaque fois qu'elle me voit, elle me donne quelque chose à faire, d'habitude une tâche bien crasseuse et ennuyante- et j'avais détalé. Et en revenant à la Tour, j’étais passé sur le pont en courant. Soudain, j’avais remarqué une forme assise dans l’ombre de la ville, au bord du parapet. Entendant les trompettes de la fermeture, je lui avais saisi le bras et l’avais entraîné à ma suite. Maître gang m’attendait à la Tour. Quand il vit ce que j’apportait, il sauta en arrière.
-Maître ! Que se passe-t-il ?
-Quelle est cette créature que tu as rapportée, Lian ?!
-Je ne sais pas. Je comptais sur vous pour me l’apprendre, vu que vous savez tout.
Comme je le pensais, mon maître fut piqué au vif et répondit d’un ton courroucé.
-Ne dis pas cela, Lian, je suis loin de tout savoir. Il faut être modeste. Mais il est vrai que j’ai beaucoup de connaissances. Alors, bestiole, tourne toi vers moi, si tu comprends mon langage.
-Bien sur que je le comprend, vieux sorcier ! je ne suis pas aussi barbare que vous ne le pensait ! Je suis une humaine ! Mon nom est Saphirewena Alumbra del Cabaja de la maison des Grands Dragons Blancs des Temps Immémoriaux, et membre de la Communauté de divertissement à la Cour royale, sans oublier mon petit, mais important rôle dans la Principauté d’Argamnon, où je suis la première chevalière du Roi Bleu. Mais, quand je vois la tête que vous faîtes, je vois que c’est plutôt vous qui êtes inculte.
-Petite effronté ! Je m’en vais te corriger !
Voyant que cela tournait vraiment très mal pour Saphir, je m’interposais.
-Euh…Maître, laissez moi m’en occuper. Vous savez, elle est sûrement d’un autre monde et …
-C’est cela. Vas-t-en et ne revient plus jamais me voir. Acendo !
Le sortilège que Maître Gang me lança m’envoya au plafond où je me cognais violemment la tête, puis je réussis à freiner ma descente en lançant un contre sort. Arrivé en bas, sans trop de dommage, je saisi la main de saphir et l'entraînait à ma suite. Je l'emmenais sur la falaise, car il valait mieux qu'elle voit à quoi elle avait affaire. Quand nous arrivâmes au bord du précipice, je la laissait regarder les pics aiguisés, pendant que j'observais avec amusement qu'avec le soleil, ses cheveux prenaient une couleur bleue. Finalement, je posai la question qui me brulais les lèvres:
- Excuse moi, mais on ne s'est pas présenté. Mon nom est Lian, fils de ...je prefère ne pas le dire. Hum..Bon, tu es ici au pays de Naïel; un encroit très ..on va dire assez étrange. Tu as fait la connaissance de maître Gang, qui a déjà l'air de t'aimer..Tu a vu la falaise..je te raconterai son histoire un jour. mais tu n'as pas encore vu Javelin, et le vieille Sombraluz, sans parler de Nigia. On verras plus tard. Mais, comment t'appelles-tu ?
- On m'a nommé Saphir, à cause de mes cheveux.
- Ah oui, ils deviennet bleus..
-Oui, c'est assez dérangeant, car chez moi, là où je vivais, on ne tolère pas ce genre de chose.
-Mais ce n'est pas de ta faute ! Et puis c'est assez beau.
Et là, oh malheur, une voix que je reconnais entre mille intervint.
- Oh oh..le doux Lian qui flirte avec une jeune fille..
Javelin. Essayant de rester calme, je me retournai lentement. La femme rousse (dsl Komokai) se tenait devant moi, les mains sur la taille. Un sourire ironique barrait son visage.
- Alooors, le petit Lian s'est trouvé une copiiine ?
- Mais arrête, c'est pas du tout ça. maître Gang..
- C'est ça, c'est ça. Quand nigia saura ça.
Etrangement, je me sentais rougir jusqu'au bout des oreilles. Se pourrait-il que ..? Nan, c'était Javelin qui me taquinait.


et jai pas encore continué..

superbe histoire... j'attend de voir ce que ton imagination va bien pouvoir nous concocter ^^

SuperSuperSuperSuperSuperSuper

trooooooooop bien!!

trooooooooop bien!! trooooooooop bien!! trooooooooop bien!!trooooooooop bien!! trooooooooop bien!! trooooooooop bien!! trooooooooop bien!!

bo copié collé

et apres tu nous parle de flood

alexis, c'est pas bien!! lol

c'est trop bien haku!^^

C'est pas du flood >_<' c'est trop bien haku!^^ c'est trop bien haku!^^ bien haku!^^ c'est trop bien haku!^^c'est trop bien haku!^^c'est trop bien haku!^^

au fait, je continu, mais sur la partie du haut, donc ne cherchait pas ici ! j'édite d'abord les autres parties..regardez la haut !

ah ouiii effectvement ^^ tu continue ^^
a quand la suite ^^

alors ptit extrait de Lian et Saphir
J'ai laissé du suspens (si on peut appelr ça comme ça) parce que ce qui va suivre n'est pas sympa sympa pour lian..vous verrez plus tard..

Saphir, exaspérée de sa timidité, s’assit derrière Lian. Son problème, c’était qu’elle ne savait pas comment lui déclarer son amour.
Le cours passa lentement. Saphir avait les yeux fixés sur la chemise blanche de son ami. Elle avait étrangement envie de lui frapper le crâne. L’amour rend fou. Au lieu de cela, elle prit une plume à encre violette, se pencha en avant, et dessina un cœur dégoulinant sur la chemise immaculée de Lian, qui se retourna :
- Mais...Saphir ?
Avant que le professeur n’intervienne, ou que les élèves ne commencent à rire, la jeune fille se leva, prit son sac et se tourna vers la porte. Arrivée à la sortie, elle regarda Lian, qui toujours abasourdi, avait de l’encre qui coulait de sa chaise. Elle lui lança théâtralement :
- Je t’aime !
Et elle partit en courant, satisfaite de sa sortie. Elle ne voulait pas se faire remarquer, mais au moins, elle avait dit ce qu’elle avait à dire. Maintenant, elle espérait que Lian avait les mêmes sentiments qu’elle. Saphir sortit de l’école en grimpant par-dessus le bas mur. Un rayon qui traversait les phrigas du bord du collège tomba sur ses cheveux qui prirent une coloration bleue. Saphir soupira. Ses cheveux l’ennuyaient à changer sans cesse de couleur. Noir – Bleu. Bon. Elle examina la situation. Elle faisait l’école buissonnière, mais quelle importance ? A part Sombraluz, sa grand-mère, personne ne se souciait d’elle. Mais à la différence de Lian, elle n’avait pas abandonné sa famille de son plein gré. Bien qu’elle soit très heureuse de se retrouver une parente, en ce moment, la vieille chose qu’elle avait fait pour l’instant, c’était de l’envoyer à cette « école », d’où sa petite fille n’avait pas encore passée un jour qu’elle séchait déjà ! A Tosoka, sa ville d’origine, Saphir était une élève moyenne, mais elle tenait le coup. Ce qui était arrivé aujourd’hui, c’était la faute de Lian ! S’il n’était pas là, rien de tout cela ne serait arrivé. Mais si elle ne l’avait pas rencontré, elle serait morte…
Finalement, Saphir se décida à aller faire un tour dans le quartier marchand d’Izarä. Elle ajusta son sac sur son épaule et partit d’un pas décidé.

Pendant ce temps, le pauvre Lina, qui avait demandé, sous les rires de ses camarades, a aller se changer, et était donc dans les toilettes des garçons, sa chemise (plus si blanche) à la main.Qu’est-ce qui était passé par la tête de Saphir ? Il leva sa chemise, et remarqua, sur le dos du vêtement, un cœur violet qui commençait à s’effacer. Lian s’immobilisa, le but de Saphir devenant évident. Elle l’aimait..Oui, mais lui, il ne savait pas vraiment ce que son cœur lui disait.
Un autre garçon entra. C’était un jeune homme aux cheveux blonds comme les blés et aux yeux si clairs qu’on croyait regarder la mer dans les pays exotiques où elle est translucide. Il le regarda. Puis il rit doucement, et s’approcha de Lian. Celui-ci recula, croyant que l’autre se moquait de lui.
- Oh calme toi ! Je ne te veux pas de mal ! Je me nomme Kiyavo. Ta classe est à côté de la mienne. Je sais ce que Saphir a fait..
- Et alors ? Que viens-tu faire ici ?

kiyavo ^^

’était la faute de Lian ! S’il n’était pas là, rien de tout cela ne serait arrivé

j'adore cte phrase. elle sembete pas cte fille XD

nan elle s'embete pas, pas comme moi (bwa encore faudrait-il que tout ceci m'arrive ^^)

XD au drame a infamie n'aige que trop vécu pour cette imfamie ^^